Quatre règles d’or pour réussir ton stage

Crédit : CASACOM

Par Noémi Foucault, diplômée et conseillère en communication marketing chez CASACOM

Il est maintenant temps de choisir ton stage pour la prochaine session! Tu as peut-être de la difficulté à choisir entre explorer l’univers des communications en entreprise ou encore l’agilité du quotidien en agence? Une chose est certaine : il est primordial de donner le coup d’envoi à ton stage en ayant une bonne attitude. Voici les quatre règles d’or pour une incursion réussie dans l’univers professionnel des communications.

1 – Sois une éponge

Avant de débuter ton stage, renseigne-toi sur l’entreprise, regarde le type de tâches proposées et détermine tes objectifs. Au quotidien, sois pleinement engagé. En étant aussi un bon observateur, tu pourras te servir de ce passage comme d’une mise au point pour avoir un portrait plus clair de ce qui te stimule. N’oublie pas de rester humble et ouvert aux commentaires constructifs : c’est le meilleur moyen pour apprendre!

2 – N’aie pas peur de demander

Le merveilleux monde des communications est souvent très intense et occupé. Bien que la personne qui supervise ton stage veut t’accompagner dans ton cheminement, elle ne sait pas précisément ce que tu souhaites explorer. N’hésite pas! Sois curieux tout en restant professionnel. D’une part, tu pourras profiter de ton expérience au maximum et démontrer que tu as de l’initiative. Il faut désapprendre le réflexe « scolaire » d’attendre les consignes. Sache que sur le marché du travail, ton employeur s’attend à ce que tu sois proactif.

3 – Documente tes journées

Cette règle d’or est franchement celle que j’aurais aimé connaître avant mon premier stage – ton cerveau me remerciera! Tout d’abord, je te suggère fortement de lire le plan suggéré pour ton rapport de stage afin de structurer ta technique de cueillette de données. Ensuite, tu peux commencer un journal de bord pour prendre en note ce que tu accomplis au quotidien. Archive également tous les documents pertinents, au fur et à mesure, afin de soutenir ton rapport avec des éléments tangibles – mais n’oublie pas de demander l’autorisation à l’entreprise pour laquelle tu fais ton stage puisque plusieurs documents peuvent être confidentiels.

4 – Intègre-toi au groupe et amuse-toi !

La clé pour réussir ton stage et laisser une bonne impression est assurément de t’intégrer au groupe. Ton superviseur de stage est certainement ton point de contact, mais pourquoi ne pas profiter de ta première semaine pour faire des rencontres individuelles et apprendre à connaître la majeure partie des employés? Personnellement, c’est en faisant la rencontre d’un employé qui travaillait en stratégie numérique que j’ai eu la piqure et l’envie de développer ce pan de ma pratique. À la toute fin de ton stage, reste en contact avec l’entreprise et initie la conversation sur les médias sociaux! N’oublie jamais que l’entreprise pour laquelle tu fais ton stage peut t’offrir ton premier emploi, ou encore être une précieuse référence.

L’expérience qu’est le stage est une occasion en or pour apprendre, rayonner et te faire des contacts qui te suivront tout au long de ta carrière. Prends cette opportunité au sérieux pour te développer autant personnellement que professionnellement. Bon stage!

Le travail en agence : la meilleure école qui soit

Par : Isabelle Larouche

Quand j’étais étudiante au baccalauréat en relations publiques, je me voyais travailler dans une agence de communications. Étant de nature fonceuse, j’avais envie de relever le défi de créer des stratégies uniques pour une multitude d’entreprises aux missions et visions différentes en plus de jongler avec plusieurs échéanciers.

J’ai eu la chance d’effectuer deux stages en agences, l’une spécialisée en relations de presse et l’autre très polyvalente, offrant à ses clients l’équivalent d’un département de communications à l’interne. On m’a d’abord refusé mon deuxième stage en m’expliquant que ce milieu ressemblait trop à ce que j’avais déjà expérimenté. Or, j’ai insisté, car pour les raisons que je vais énumérer, j’étais convaincue, et je le demeure, que les agences de communications sont des endroits parfaits pour se faire la main lorsqu’on débute dans le domaine des relations publiques. J’ai donc effectué mon dernier stage dans l’entreprise qui est par la suite devenue mon milieu de travail.

Avant de poursuivre, j’aimerais préciser que mon opinion est basée sur mon expérience et qu’il est tout à fait possible que quelqu’un ait vécu autre chose dans une agence ayant un mode de fonctionnement différent de l’entreprise pour laquelle j’ai travaillé.

Un milieu stimulant

Comme j’ai tendance à m’ennuyer facilement, je me nourris de nouveautés et de défis. L’agence pour laquelle je travaillais étant en pleine expansion, la venue de nouveaux clients et celle de nouveaux employés faisaient partie du quotidien. De plus, n’ayant pas beaucoup d’expérience dans le domaine, chaque mandat représentait un défi. J’ai donc été comblée par les nouveaux mandats qui nous étaient confiés, à mes collègues et à moi.

Une occasion de découvrir plusieurs domaines d’affaires

Mon agence étant spécialisée en accompagnement de Startups, nos clients venaient de tous les milieux. J’en ai donc appris beaucoup sur la création vidéo, sur le développement de plateformes web et même sur les services comptables pour ne citer que quelques exemples. Cela m’a certainement permis de développer ma curiosité envers les différentes industries, mais également envers l’entrepreneuriat. En effet, ce que j’ai le plus aimé, c’est de rencontrer des entrepreneurs passionnés et de discuter avec eux de leur vision pour leur entreprise.

L’occasion de perfectionner ses connaissances

Soyons honnêtes, même si on a suivi des cours pratiques durant notre cheminement scolaire, on ne se sent pas nécessairement à l’aise de mener une campagne de presse ou de rédiger un plan de communication dans le cadre d’un premier emploi. Travaillant pour de nombreux clients, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques à plusieurs reprises en plus d’en développer de nouvelles. Rédaction de plans de communication, rédaction de calendriers éditoriaux, élaboration de listes de presse, rédaction de communiqués de presse, rédaction de textes de site web et marketing d’influence ne représentent qu’une infime partie de tout ce que j’ai appris en agence.

Développer sa créativité

Travailler avec plusieurs clients nous force à être créatifs et à développer des idées différentes pour chacun d’eux. Pour ce faire, le travail d’équipe est souvent la clé de la réussite. En effet, contrairement à ce qu’on pourrait croire, il n’y avait aucun esprit de compétition entre mes collègues et moi. À l’agence où je travaillais, nous avions même pris l’habitude de tenir une rencontre de brainstorming par semaine où chaque chargé de compte demandait à l’équipe des idées pour ses clients afin de changer de perspectives et de partir sur de nouvelles pistes. Alors que j’avais tendance à éliminer immédiatement les idées qui m’apparaissaient moins pertinentes, j’ai appris que la solution qu’on cherchait émergeait souvent de celles-ci.

Développer une expertise

Travailler dans une agence, c’est proposer à ses clients une expertise. Il est donc primordial de se tenir au courant des nouvelles tendances. J’ai développé l’habitude d’effectuer une veille dans les médias spécialisés en communication, de m’abonner à des influenceurs et de suivre les discussions dans des groupes Facebook de professionnels du milieu. Cela m’a permis de proposer des solutions innovantes et d’en apprendre sur les bons coups de l’industrie.

Développer sa confiance en soi et son leadership

Avant de travailler en agence, j’avais peur de me tromper, d’affirmer ce que je pensais et même… de parler au téléphone. Ayant rapidement eu la responsabilité de nombreux compte-clients, j’ai dû m’adapter à mon nouveau titre de conseillère. Même si je me percevais comme une jeune venant tout juste de terminer l’école, j’en savais souvent davantage sur les bonnes pratiques en communication que mes clients. J’ai donc appris à adapter mon discours pour qu’il soit reçu comme un avis d’expert. Bien sûr, les conseils et astuces de mes collègues plus anciens ont été d’une grande aide.

Des outils pour le futur

J’ai quitté mon poste de conseillère en relations publiques après quelques mois pour effectuer une maîtrise en gestion de projet. Je suis aujourd’hui coordonnatrice de projets dans le domaine culturel. Même si je ne travaille plus en relations publiques, je suis persuadée que mon expérience a été un tremplin pour être la professionnelle que je suis aujourd’hui, ne serait-ce que pour la confiance en moi, la discipline et la créativité que j’ai développé.

Pour finir, je ne cacherai pas qu’il s’agissait d’un travail exigeant et quelque peu stressant, mais le mot que je garde aujourd’hui en tête est plutôt « enrichissant ». Je vois aujourd’hui tous les bénéfices que cela a pu m’apporter et je recommande à n’importe qui ayant une curiosité envers ce type d’emploi de foncer.

 

L’international à portée de main

Par : Andréanne Gagnon

Tu rêves d’aller étudier à l’étranger ? Bonne nouvelle ! Les étudiant(e)s inscrit(e)s au baccalauréat en communication – relations publiques ont accès à une variété de destinations pour effectuer un à deux trimestres d’études à temps complet dans un établissement partenaire de l’UQAM. Des lieux d’accueil un peu partout dans le monde t’ouvrent leurs portes. Tu pourrais entre autre faire ton séjour en Allemagne, en France, en Australie, à Taiwan, aux États-Unis, au Portugal, en Espagne, en Italie et plus encore !

En plus d’être une expérience incroyable qui combine ton désir de voyager à la poursuite de tes études, faire un séjour à l’étranger te permettra de vivre une expérience personnelle enrichissante. Ce séjour est l’occasion de bonifier ton parcours académique en découvrant une nouvelle culture, en développant tes capacités d’adaptation tout en apprenant une nouvelle langue.

Voici comment faire ta demande en six étapes !

Étape 1 : Vérifier ton admissibilité et assister à la rencontre d’information obligatoire

Tu dois d’abord valider ton admissibilité et assister à une rencontre d’information obligatoire offerte par l’équipe des Service des relations internationales de l’UQAM.

Pour être admissible, tu dois :

  • être inscrit(e) à temps complet dans le programme;
  • avoir complété, au moment du départ, un minimum de 24 crédits;
  • avoir et maintenir une moyenne de 2,8/4,3.

Étape 2 :  Explorer les différents programmes et établissements d’accueil

Il est très important à cette étape-ci de faire un choix éclairé en considérant entre autre la langue d’enseignement, l’offre de cours, le calendrier universitaire et le coût de la vie du lieu d’accueil. L’UQAM offre quatre programmes d’échanges étudiants dont : les ententes bilatérales, le Programme BCI, le Programme NSE et le Programme North2north. À titre informatif, un échange étudiant coûte entre 9 000$ et 11 500$ selon la destination choisie et ton mode de vie.

Tu peux visualiser les lieux d’accueil en fonction des différents programmes offerts.
 

Étape 3 : Effectuer la validation

Une fois le lieu d’accueil déterminé, tu dois envoyer un courriel à mobilite@uqam.ca, en indiquant :

  • Ton nom
  • Ton code permanent
  • Ton programme d’études
  • Tes choix en ordre de préférence

Cette validation te permet de voir si tu es bien admissible pour les établissements choisis. Tu peux faire jusqu’à trois choix dans un seul des programmes d’échanges étudiants afin de maximiser tes chances de partir à l’étranger.

Il est toutefois important de regarder les exigences pour chaque université et t’assurer d’avoir le bon niveau de langue en faisant un test de classement en anglais (ou tout autre langue déterminé par ton pays d’accueil).

Étape 4 : Réaliser et faire approuver ton choix de cours

L’étape du choix de cours est la plus longue et la plus importante. Tu dois t’assurer que l’établissement choisi offre suffisamment de cours compatibles au programme en relations publiques pour pouvoir y étudier d’un ou deux trimestres à temps complet.

Il est important de savoir que le choix de cours que tu effectueras est temporaire et qu’il est appelé à changer lors de ton inscription officielle dans ton établissement d’accueil.

Il est donc primordial d’être flexible dans ton choix de cours et de trouver plusieurs alternatives lors de ta recherche de cours en cas de modification d’horaire. Pour bien faire ton choix de cours, tu devras : analyser le programme en relations publiques, comprendre le système de crédits de l’UQAM et de l’université d’accueil (Exemple : 6 ECTS = 3 crédits), trouver l’offre de cours puis remplir et faire valider ton formulaire de choix de cours par la direction de programme. Il est d’ailleurs plus facile et préférable de te faire créditer des cours optionnels et de langues plutôt que des cours obligatoires.

Tu peux contacter le monitorat de programme pour t’aider dans tes démarches.

Étape 5 : Compléter ton dossier de candidature 

Tu devras fournir l’ensemble des documents ci-dessous lors de ton dépôt de candidature. Tu peux également te référer à ce guide virtuel pour être certain de ne rien oublier !

Tu devras fournir une seule copie des documents suivants dans cet ordre. De plus, seuls les dossiers complets et transmis en personne seront acceptés.

1 – Formulaire(s) de demande de mobilité

2 – Photocopie de la page d’identification de votre passeport

3 – Lettre(s) de motivation (si demandé)

4 – Relevé de notes non officiel de l’UQAM

5 – Formulaire(s) d’autorisation de choix de cours

6 – Attestation de compétences linguistiques (si la langue d’enseignement est autre que le français)

Étape 6 : Déposer ton dossier 

Tu y es presque ! Il ne reste plus qu’à te présenter en personne au AB-8015 les 4, 5, 6 et 7 février 2019 afin de déposer ton dossier. Si tu es accepté(e), tu pourrais être éligible à différentes bourses ou programmes de financement. Pour en savoir plus, consulte le lien Bourses et soutien financier.

D’autres questions ? N’hésite pas à contacter le monitorat de programme ou le Service des relations internationales de l’UQAM, qui pourront te guider dans tes démarches. Tu peux également consulter les outils et liens suivants, mis à disposition par l’équipe du Service des relations internationales de l’UQAM, pour aider les étudiants dans leurs démarches :

Bon succès dans tes démarches et que l’aventure commence !

Sources : Éléments tirés du site du Service des relations internationales de l’UQAM

12 conseils que j’aurais aimé connaître au début de mon baccalauréat

Par: Jade Charette-Côté

Avant même de commencer mon baccalauréat, je savais déjà qu’il fallait assister à tous ses cours, s’y présenter à l’heure, faire ses lectures, bien étudier hebdomadairement et rédiger ses travaux à l’avance. Toutefois, plusieurs bonnes habitudes auraient pu m’être bénéfiques et auraient pu me permettre d’être plus stratégique comme étudiante, mais surtout comme jeune professionnelle. En voici la liste :

1 – Se familiariser avec la bibliothèque et ses services le plus rapidement possible! Il est nécessaire pour tout étudiant en communication de savoir effectuer des recherches efficaces et variées de sources fiables, reconnues et scientifiques. Il est aussi fondamental de savoir citer ses sources et rédiger une bibliographie de façon uniforme et professionnelle. Il y a souvent des formations offertes à la bibliothèque et le personnel est là pour vous aider! De plus, c’est une bonne habitude à prendre rapidement puisque savoir rédiger une bibliographie est une compétence indispensable comme étudiant et évite les soucis en éliminant les chances de plagiat.

2 – Se tenir au courant de l’actualité! Un bon relationniste est toujours à l’affût des dernières nouvelles : pour ses clients, pour dénicher des opportunités d’affaires, pour sa culture générale et pour faire la conversation! Pour s’assurer de ne rien manquer, pourquoi ne pas changer la page d’accueil de son navigateur Web pour celle d’un média et pourquoi ne pas s’abonner à plusieurs médias locaux et internationaux sur les médias sociaux? Plusieurs idées en rafale : La Presse, Le Devoir, Montreal Gazette, Radio-Canada Information, Infopresse, Grenier aux nouvelles, A2C, Le Monde, New York Times, etc.

3 – S’assurer d’être confortable financièrement pour pouvoir se concentrer sur ses études sans perdre la tête! C’est définitivement un des conseils les plus importants de cette liste. Pour la plupart des étudiants, il s’agit ici de se trouver un emploi stable conciliant travail-études-vie sociale. Et de connaître ses critères principaux pour faire un choix éclairé : se créer un réseau intéressant à court ou moyen terme, travailler dans son domaine, être bien payé, avoir des horaires intéressants et flexibles, aimer son équipe, avoir du plaisir au travail, etc. Il est aussi toujours avantageux de regarder les bourses disponibles! Finalement, il peut être envisageable de demander de l’aide financière en appliquant au Programme de prêts et bourses du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

4 – Connaître les bons spots à café à l’intérieur ou proche de l’UQAM! Saviez-vous que l’UQAM compte 8 cafés étudiants incroyables dans son enceinte, tous sous l’égide d’associations étudiantes facultaires? On pense ici au fameux Salon G, mais aussi au délicieux Café Aquin, au joli Café Design, au Café Le Philanthrope bien caché, au Café des arts quand on veut prendre une petit marche dans le pavillon J, ainsi qu’au Café Tasse-toi de l’AFELC! De plus, plusieurs autres options sont disponibles à une distance raisonnable de l’université : le Café St-Henri, le Café 1880, La graine brûlée, etc. Et n’oubliez pas d’amener votre tasse si vous souhaitez bénéficier d’un rabais et réduire votre empreinte écologique. Si pour vous caféine = productivité, c’est le temps de tous les essayer!

5 – Faire son horaire à l’avance pour mieux gérer son stress, ses obligations et son temps! Ça peut parfois paraître comme une perte de temps ou un travail inutile, mais vous vous remercierez lors de la fin de session. Qu’il s’agisse pour vous de tout écrire dans son agenda (la date des examens, des oraux et remise des travaux, la valeur en pourcentage des examens, la date des rencontres d’équipe, etc.) ou encore de tout noter sur le calendrier de son cellulaire, ce travail personnel vous aidera à juger quel travail est plus important, plus stressant et plus pressant. Il suffit maintenant de vérifier son horaire au moins une fois par semaine, d’y ajouter ses horaires de travail et de le mettre à jour rapidement pour ne rien oublier.

6 – Acheter ses livres et ses recueils seulement après avoir assisté aux premiers cours! Cette bonne habitude permet de confirmer avec le professeur quels livres acheter, de ne pas rester pris avec un livre coûteux dont on n’aura finalement pas besoin et de vérifier si on peut acheter une version usagée ou antérieure pour économiser des sous. Puis à la fin de la session, il est toujours possible de revendre ses livres sur des groupes Facebook de livres usagés destinés aux étudiants de l’UQAM, sur Kijiji ou à l’UQAM directement!

7 – Socialiser! Quoi de mieux pour rencontrer des gens que d’aller aux initiations, aux 5 à 7 et/ou aux différents événements organisés par son association? L’université, c’est une belle occasion de se faire des amis avec qui on va évoluer, mais aussi de se bâtir un réseau intéressant dans son domaine. C’est pourquoi il est crucial de toujours garder en tête que l’image projetée lors de nos études au baccalauréat peut nous suivre longtemps et teinter notre réputation à long terme. On se rappelle donc lors des cours, des événements et des opportunités de réseautage que l’on est tous de futurs professionnels et que les gens nous entourant seront nos futurs collègues. Même chose sur les médias sociaux : on s’amuse, on crée du contenu et on se fait des contacts, mais on pense aussi à notre image et notre réputation en analysant nos publications et nos paramètres de confidentialité.

8 – Dans le même ordre d’idées, faire du bénévolat! Donner de son temps pour une cause qui nous tient à coeur, pour aider des gens ou se faire de l’expérience dans un milieu qui nous intéresse; toutes les raisons sont bonnes pour faire du bénévolat. C’est excellent pour étendre son réseau, bénéfique pour son CV, utile pour se trouver un stage, judicieux quand on veut connaître un nouveau secteur et formidable pour se démarquer, mais c’est surtout très bon pour la société et pour l’âme. Plusieurs sites Web et groupes sur les médias sociaux affichent continuellement des offres. Il ne suffit que de chercher pour trouver la perle rare!

9 – Ne pas hésiter à poser des questions! Plusieurs personnes et ressources sont disponibles pour répondre à vos questionnements : professeurs, collègues, amis, étudiants plus avancés que vous au baccalauréat, l’association étudiante, les Services à la vie étudiante, l’agente de gestion aux études ou la monitrice de programme, etc. Quand la réponse est courte et/ou d’ordre informatif, c’est toujours une bonne idée d’écrire un courriel. Cependant, si vous recherchez des conseils ou que vous avez plusieurs questions demandant des éclaircissements et de longues réponses, il est préférable de demander un rendez-vous pour pouvoir en parler en personne.

10 – Développer son autonomie! Oui, c’est bien de poser ses questions et d’aller chercher de l’aide. Toutefois, il est toujours plus efficace et utile de faire soi-même ses propres recherches avant de poser une question embarrassante dont la réponse se trouve avec une simple lecture d’un plan de cours, une recherche rapide sur Google ou un survol rapide du site de l’UQAM. Pourquoi ne pas approfondir vos connaissances sur un sujet ou développer votre expertise sur un domaine par vous-même? Pourquoi ne pas visiter le site Web du baccalauréat en relations publiques de l’UQAM pour en savoir plus sur les cours à suivre, les demandes d’équivalence, les stages à réaliser et les trimestres à l’international? L’autonomie est clairement une des qualités les plus recherchées et les plus appréciées par les employeurs et vos futurs maîtres de stage. Ça commence maintenant!

11 – Pratiquer son anglais! Vous écoutez vos séries préférées en anglais, votre musique en anglais et vous lisez de temps en temps en anglais? C’est déjà de bonnes habitudes pour pratiquer quotidiennement la langue. Mais êtes-vous à l’aise ou prêt à écrire des courriels professionnels, à passer un appel téléphonique avec un client d’haute importance ou à rédiger différents textes et outils seulement en anglais dans un cadre professionnel? Le baccalauréat en communication – relations publiques demande que tous les étudiants passent obligatoirement un test d’anglais avant leur inscription au troisième trimestre ou encore le plus rapidement possible. Cela vous permet de vérifier vos compétences en anglais. Même si vous passez dès le premier essai, je conseille à tout étudiant de pratiquer son anglais oral et écrit tout au long du baccalauréat pour être le plus polyvalent possible sur le marché du travail.

12 – Suivre la page Facebook Relations publiques – UQAM! C’est la meilleure façon de rester à l’affût de l’actualité dans le domaine des relations publiques et des communications et surtout, de savoir quand un nouvel article est publié sur le blogue!

Bonne mi-session!

 

 

Avez-vous entendu la rumeur ?

C’est bien vrai !

Le blogue relations publiques – UQAM est officiellement lancé, aujourd’hui le 15 octobre 2018. Il s’agit ici d’un blogue se voulant une vitrine sur le monde des communications, des médias et une bonne façon d’en savoir plus sur les relations publiques!

Il sera possible d’y lire des articles sur l’actualité sous la lentille d’un étudiant en relations publiques, des profils de stages au Québec et à l’étranger, des profils de carrière, des articles sur la vie à l’UQAM et des conseils pour les étudiants et relationnistes!

Vous êtes intéressé.e.s à collaborer à ce projet? Écrivez un courriel indiquant votre intérêt, votre expérience en rédaction et ce que vous pourriez amener au blogue à l’adresse courriel : monitorat.relationspubliques@uqam.ca